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Concertation sur le projet urbain dit du Camp français
Le lancement d’une concertation préalable a été acté au conseil pour définir l’avenir du secteur dit du Camp français, 130 hectares situés au carrefour de Lezennes, Lesquin et Ronchin. Autrefois occupé par un centre équestre et un complexe moto, il est aujourd’hui au cœur d’un ambitieux projet urbain autour du golf métropolitain qui sera maintenu et valorisé. La fermeture récente de certaines activités libère près de 30 hectares de foncier public désaffecté à valoriser. Bordé par des infrastructures telles que les autoroutes, le métro et bientôt une ligne de bus à haut niveau de service (projet Extramobile), il bénéficie d’une localisation stratégique. Le secteur est également très proche d’équipements emblématiques, l’université et la Decathlon Arena - Stade Pierre-Mauroy. Le golf, véritable atout paysager, constitue la pièce maîtresse autour de laquelle s’articuleront les futurs projets. Au-delà des enjeux paysagers, le secteur du Camp Français soulève d’importantes questions de circulation et de liaison, notamment pour Ronchin et Lezennes. La Métropole associe ainsi la population et les acteurs locaux à la réflexion sur le devenir de ce secteur, pour recueillir avis, propositions et attentes. L’objectif est de construire un projet urbain partagé et respectueux des enjeux environnementaux et sociaux. Au terme de cette phase participative, un bilan sera établi et rendu public.
Nouveau cœur de ville à Marquette-lez-Lille
Voté au conseil, le projet d’aménagement qui vise à transformer la friche industrielle des entreprises Délifrance et Boone Paindavoine en nouveau cœur de ville avance. Ces 7,9 hectares situés à proximité des Grands Moulins de Paris et de la rue Pasteur ont vocation à devenir un véritable trait d’union entre les quartiers, tout en valorisant les atouts naturels du territoire. La procédure de désignation du concessionnaire qui sera chargé de réaliser ce projet d’envergure, prévu sur 10 à 12 ans, sera lancée cet automne. Le site est composé d’une friche de cinq hectares qui appartient à la MEL et de trois hectares en cours d’acquisition . Le projet prévoit de créer un véritable cœur de ville avec des commerces, des activités tertiaires et artisanales, des services et un marché, du logement, de faire des bords de Deûle un espace animé et arboré avec une large place aux mobilités douces. Le site sera préalablement dépollué et déconstruit. La concertation citoyenne menée fin 2024 a permis de fixer les grandes lignes de ce futur quartier. Au pied du futur tramway (projet Extramobile), le nouveau cœur de ville reliera les quartiers existants, et valorisera le paysage des Bords de Deûle. Environ 450 logements verront le jour : au moins 30 % de logements sociaux, 30 % abordables et 40 % libres, répartis dans des bâtiments variés (R+3 à R+6). Un béguinage de 3 000 m² accueillera les seniors, tandis qu’un espace polyvalent de 1 000 m² renforcera la vie collective. Le programme prévoit aussi 3 000 m² de commerces et 6 000 m² d’activités. Les espaces publics (35 000 m²) comprendront un mail piéton, une grande place centrale sur les Bords de la Deûle, des voies de circulation douces et du stationnement, ainsi que des parkings en silo. Et le panorama vers les Grands Moulins de Paris et la tour de l’Horloge sera valorisé.
Une piscine métropolitaine à Marcq-en-Barœul
Dans le cadre de son Plan Piscines 2*, la Métropole soutient la construction de nouvelles piscines d’intérêt métropolitain, tout en poursuivant la rénovation des équipements existants via un fonds de concours. L’objectif est triple : rapprocher les équipements des établissements scolaires pour faciliter l’apprentissage de la natation, proposer davantage de créneaux aux clubs sportifs de haut niveau, et améliorer le service public rendu aux métropolitains. En deux ans, plusieurs projets ont déjà été déclarés d’intérêt métropolitain à Lille, Roncq, Wattrelos, Marquette-lez-Lille/Saint-André-Lez-Lille et Roubaix-Tourcoing. Marcq-en-Barœul s’inscrit désormais dans cette dynamique avec la reconnaissance de l’intérêt métropolitain pour la future piscine du Pavé Stratégique, sur la friche Geldrive. Ce site, au cœur d’un secteur riche en activités sportives et de loisirs, a été identifié comme particulièrement propice à l’accueil d’un centre aquatique d’envergure : offre de nage de standing avec a minima un bassin de 25 mètres, bassin d’apprentissage, espaces ludiques et de loisirs. Il permettra de soutenir l’apprentissage de la natation dans le secteur, tout en accompagnant le développement du sport de haut niveau. Une convention financière précisera les modalités de participation entre la MEL, principal contributeur, et la ville de Marcq-en-Barœul. Les études de faisabilité sont engagées.
* Le Plan Piscines 2 vise à renforcer l’égal accès à la natation pour tous, tout en modernisant un parc aquatique vieillissant (2/3 des piscines du territoire ont plus de 30 ans).
Rénovation du métro
Cure de jouvence pour les rames de métro VAL208, mises en service à partir de 1999. Au cœur du projet : prolonger leur durée de vie jusqu’à 45 ans ou 4 millions de kilomètres, tout en renforçant fiabilité, accessibilité et confort pour les usagers de la ligne 2. L’objectif de ce plan de rénovation est clair : offrir un service plus performant, inclusif et moderne. Dans ce cadre, la MEL investit massivement (près de 110,2 M€ HT) pour rénover l’ensemble du parc. Ce chantier, inscrit dans le cadre du renouvellement du contrat de concession de service public avec Kéolis, se déroulera sur 6 ans, de 2025 à 2031. Il sera piloté par la MEL avec l’appui expert de Keolis Lille ilévia. Les travaux porteront sur l’amélioration de l’accessibilité, avec la création d’espaces multifonctionnels pouvant accueillir des fauteuils roulants, mais aussi sur la modernisation du design et l’optimisation technique des équipements. La première phase relative aux études d’exécutions permettra d’affiner les modalités du programme de rénovation avec l’objectif d’aboutir à la rénovation des trois premières rames au second semestre 2026. Différents marchés seront également passés pour assurer les autres opérations de rénovation (caisses, équipements Siemens, freinage). La ligne 1, quant à elle, verra des rames "boa" de 52 m circuler dès février 2026.